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L'affiche rouge

Interprétée par Catherine Sauvage.
Musique de Léo Ferré. Texte de Louis Aragon

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dimanche, 05 août 2007 | Lien permanent

L'Affiche rouge

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dimanche, 30 décembre 2007 | Lien permanent | Commentaires (5)

Fossilisation et ”panthéonisation” de l'Affiche rouge

FOSSILISATION ET « PANTHÉONISATION »

DE L’AFFICHE ROUGE

 

Lorsqu’un événement se distingue comme singularité, qu’il s’identifie à une dynamique que l’histoire ne parvient pas à dissoudre dans le moule d’un passé révolu, la commémoration instituée par la servilité de ses protagonistes, eux-mêmes serviteurs zélés de l’État, prend l’allure d’un spectacle événementiel dans lequel, tout ce qui pouvait se revendiquer d’une vérité en charge de mémoire est à jamais dissout dans la consécration et la sanctuarisation. « L’événement-lieu Affiche rouge », revisité  à l’occasion du soixante-dixième anniversaire de l’exécution des combattants dudit « groupe Manouchian », fait aujourd’hui l’objet de commémorations officielles auxquelles l’État, représenté par François Hollande, participe avec la superbe qui s’impose. Il doit être bien entendu que les discours glorifiant le martyr de ces étrangers « morts pour la France » ne sera jamais à la hauteur du sacrifice et de l’abnégation de ces femmes et hommes courageusement tombés sous les balles de l’occupant allemand. D’ailleurs la « panthéonisation » de deux femmes et deux hommes (la parité doit être respectée, même chez les morts) est le moins que l’on puisse attendre d’un geste commémoratif  consacrant la Résistance, qui plus est la Résistance de ces étrangers, FTP-MOI, dont l’héroïsme est indiscutable. Soucieux d’être à la hauteur de l’engagement de celles et ceux qui ont donné leur vie, de les consacrer de témoignages en débats, la litanie « droits de l’hommiste » trouve son écho dans la conscience « indignée ».

 

Lorsque la mémoire, le devoir de mémoire, prélude à l’embaumement, force est de constater que même la Résistance n’y résiste pas. La parole solennelle de distingués auteurs de discours officiels s’égrène tel un rosaire, chacun sent sur ses épaules le poids de l’affliction et le silence ne transmet plus « l’écho des voix qui se sont tues ». Convenons que tout acte a une signification, y compris et jusque dans l’absurde, ainsi que dans ses accomplissements les plus paradoxaux. Chaque séquence historique se distingue par sa singularité mais aussi par la rupture ou la bifurcation elle-même historique dont elle est née, ce par quoi elle est produite. Aussi avons-nous à considérer « l’événement-lieu Affiche rouge » dans ce qui le contingente comme singularité dans l’histoire, pour le moins tumultueuse, de la Résistance. Pour ce faire il nous reste à détacher au moins momentanément « l’événement-lieu Affiche rouge » de son historicité afin d’en retrouver l’épaisseur, de le re-lier à sa dimension émancipatrice et universelle. Il est donc question de rendre à cet événement-lieu son possible « étant ».

 

Précédemment, dans un article intitulé l’Affiche rouge, lieu d’une multiple singularité, nous avions apporté une contribution à cette question posant la condition de « l’événement-lieu Affiche rouge ». Loin d’en avoir exploré toutes les possibilités, nous avions toutefois posé en termes d’interrogation la possibilité de cet événement-lieu, du principe universel qui le caractérise. Les termes de cette universalité sont identifiés par la dynamique émancipatrice dont nous produisions le nom, une « identification concrète de la nécessité communiste ».

 

Instruire la dimension universelle de « l’événement-lieu Affiche rouge » préfigure à la critique en négatif de la captation commémorative de l’événement. Le spectacle toujours réducteur de la solennité mémorielle n’est que l’apparence en conformité avec l’état de sacralisation. Le lien est dé-lié pour assurer la relégation de l’événement-lieu à la séquence historique nommée Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale, ainsi et conséquemment, toute tentative de son identification sur le champ du réel et sa qualité pérenne est destituée, reléguée à la séquence historique déjà nommée, sans que rien ne puisse être appréhendé pour en extraire la dimension universelle. Ainsi en est-il de toute approche commémorative, ainsi en est-il de « l’événement lieu Affiche rouge » subsumé par le discours de la soumission au service de l’État. Ce qu’il y a de commun aux singularités (historiques) commémorées, c’est le vocabulaire qui est utilisé, on pourrait d’ailleurs parler d’une convocation du langage uniformisé, formaté, servant de moule linguistique pour chaque entreprise de récupération, la distinction des singularités n’en sera que plus inopérante, que plus absente. Le quoi de la singularité « événement-lieu de l’Affiche rouge » cherchera donc vainement son nom dans le théâtre agissant et opérant de la fossilisation-commémoration programmée par les agents gardiens du Temple de la mémoire. À l’opposé d’une dynamique où le lien est identifié et reconnu comme objet agissant sur le champ du réel, l’exploitation de l’événement-lieu sacralisé par l’État se réduit aux commentaires journalistiques, à l’évocation-témoignage toujours en défaut de véracité, toujours marqué par la faillibilité du témoin.

 

Mais nous n’échapperons pas à la dimension pédagogique qui semble justifier la commémoration, la mise en scène événementielle. À défaut de savoir de quoi il s’agit réellement, organisons un autre lieu (la commémoration) qui lui, débarrassé de l’événement, saura concourir à la mise en forme d’une mémoire qui s’exclue elle-même de l’interprétation éminemment politique de l’événement-lieu. L’étant de « l’événement-lieu Affiche rouge » est, en tant qu’il est, le devenir politique de son effectuation identifié dans la dynamique historique de transformation émancipatrice. Il est donc nécessaire de bien prendre la mesure de ce qui est, non au-delà, mais radicalement opérant sur le champ du réel. Il n’y a pas un sujet « Affiche rouge » ou « groupe Manouchian » immédiatement repérable par son seul statut de combattants martyrs en tant qu’ « événement-lieu » de sa possibilité universelle, si on le contraint à la simple expression officielle de la norme consacrée, celle de l’État. Dire que la commémoration se caractérise par son insuffisance est faux, elle n’est tout simplement pas l’objet de ce qu’elle commémore, pas plus d’ailleurs que « l’événement-lieu » n’est en retour l’objet commémoré. La seule réflexivité de cette sentence, de ce procès, nous renvoie à ce constat, ce qui est commémoré n’est pas en tant qu’il est mais en tant qu’absence, en tant qu’indifférencié.

 

Fossilisation, « panthéonisation », sanctuarisation, voilà quelques termes qui assurent dans la durée, la contingence de l’invisibilité parfaite.

 

7 mars 2014

 

Patrice Corbin

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vendredi, 07 mars 2014 | Lien permanent

L'Affiche rouge, symbole des étrangers dans la Résistance

L'Affiche rouge,

symbole des étrangers dans la Résistance



L'Affiche rouge : symbole des étrangers dans la... par Ash67


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vendredi, 24 février 2012 | Lien permanent | Commentaires (1)

L'Affiche rouge interprétée par Ogeret

L'AFFICHE ROUGE

Louis Aragon et Léo Ferré


interprétée par Marc Ogeret 



 

 

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Missak Manouchian et Wolf Boczov à la prison de Fresnes

quelques heures avant l'exécution au Mont Valérien,

le 21 février 1944

 

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1. Missak Manouchian

2. Celestino Alfonso

3. Marcel Rajman

4. Wolf Boczov

5. Olga Bancic

6. Henry Krasucky

7. Joseph Epstein (Colonel Gilles)

8. L'exécution au Mont Valérien

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dimanche, 04 mars 2012 | Lien permanent | Commentaires (3)

À propos de ”L'Affiche rouge”

SUITE À UNE RECRUDESCENCE DE DEMANDES D'ACHAT CONCERNANT L'"AFFICHE ROUGE", NOUS INFORMONS CHACUN D'ENTRE-VOUS QUE NOUS NE POSSÉDONS PAS D'EXEMPLAIRES À VENDRE.

PAR AILLEURS, SOUCIEUX D'UNE CERTAINE ÉTHIQUE, RESPECTUEUX DU COMBAT ENGAGÉ PAR TOUS LES RÉSISTANTS CONTRE LE NAZISME, NOUS NOUS REFUSONS CATÉGORIQUEMENT DE FAIRE COMMERCE DE QUOI QUE CE SOIT AYANT UN RAPPORT DIRECT OU INDIRECT AVEC LA RÉSISTANCE.

IL EST DONC INUTILE DE NOUS CONTACTER POUR DES RAISONS COMMERCIALES.

CETTE PLATEFORME, DANS SON INTITULÉ, STIPULE QUE NOTRE TRAVAIL CONSISTE À RECUEILLIR DES INFORMATIONS HISTORIQUES, ENGAGER DES ÉCHANGES SUR L'ACTUALITÉ DU COMBAT MENÉ PAR TOUS LES RÉSISTANTS.

POUR LE BLOG L'AFFICHE ROUGE

LE MODÉRATEUR

PATRICE CORBIN

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vendredi, 03 décembre 2010 | Lien permanent

L'Affiche rouge interprétée par Léo Ferré

L'affiche rouge
envoyé par Jefka59

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mardi, 07 avril 2009 | Lien permanent | Commentaires (1)

Léo Ferré chante L'Affiche rouge

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lundi, 07 janvier 2008 | Lien permanent | Commentaires (2)

L'Affiche rouge, lieu d'une multiple singularité

L’AFFICHE ROUGE

 

LIEU D’UNE MULTIPLE SINGULARITÉ

 

 

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Le 21 février 1944, vingt-deux combattants FTP-MOI sont fusillés au Mont Valérien, Olga Bancic, la seule femme du procès des vingt-trois, est décapitée le 10 mai de la même année en Allemagne. Joseph Epstein, arrêté en même temps que Missak Manouchian, sera fusillé après avoir été longuement torturé, le 11 avril 1944.

 

Il y a soixante-dix ans, une affiche est placardée sur les murs de Paris et dans les villes de France stigmatisant la Résistance avec le souci esthétique de présenter dix visages d’étrangers au service de « l’armée du crime », une bande de criminels à la solde de Moscou. Il s’agit de dénoncer avec éloquence le complot judéo-bolchevique. Cette mise en scène propagandiste très soignée, tant par sa composition que par les arguments qui sont retenus, se veut pédagogique, elle interpelle le passant, l’invite à cautionner l’entreprise mensongère, sans qu’aucun recul ne puisse édulcorer sa perception, le jugement est définitif : ladite résistance est le fait de hordes cosmopolites qu’il s’agit de réprimer, d’anéantir. Mensonge et abjection sont des pratiques courantes chez les nazis et leurs amis collaborateurs français, le perfectionnement de l’ignominie et de ce qu’il y a d’humainement vil fut une discipline que la Gestapo et la police française ont su parachever.

 

Cette affiche de couleur rouge est bien plus qu’un simple avis de condamnation, d’exécution, elle est une tache de sang, mais de quel sang s’agit-il ? Dix visages d’hommes manifestement torturés, dix photographies figeant définitivement des suppliciés dans des cercles ; images saisies à la prison de Fresnes quelques heures avant l’exécution. À cela, s’ajoutent des photos représentant un dépôt d’armes, un déraillement de train, un corps criblé de balles. De toute évidence, il doit être admis que seuls le crime et la barbarie animent ces terroristes que nous ne tarderons pas à identifier comme étant les martyrs fusillés de l’Affiche rouge, les vingt-trois dudit « groupe Manouchian », ainsi qu’il fut nommé après la guerre.

 

L’identification de l’Affiche rouge, comme singularité de la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale, nous impose de reconnaître comme événement tout aussi singulier la permanence de son empreinte dans l’imaginaire collectif, nous invite aussi à nous départir de toute mystification alimentant la légende. Cette identification est contrainte doublement, il y a le moment de son apparition sur les murs des villes en 1944, sa détermination purement propagandiste, et le moment de son intégration à l’histoire de la Résistance, intégration qui révèle la singularité dont nous voulons parler, à savoir, la dimension du combat émancipateur mené par ces combattants et qui dépasse de loin un simple acte de résistance, partant de là, nous ne minimisons aucunement « l’acte de résistance ». Si dans un premier temps l’accent est mis sur le cosmopolitisme de ces individus au service des agents juifs de Moscou, le déterminant judéo-bolchevisme, nous devons aussi nous saisir de la traduction qui est faite de l’événement « Affiche rouge » au lendemain de la Libération, précisément dans l’histoire de la Résistance et de sa singularité, la Résistance communiste. Force est de constater qu’il y eut une volonté politique de formater la Résistance en vertu de critères politiciens, à savoir la réconciliation nationale pour le moins mise à mal pendant les années d’épuration ; c’est avec et par le général de Gaulle que la Résistance est reconnue et glorifiée. Dans cette période de confusion mais aussi de réconciliation nationale, de reconstruction de l’identité républicaine, le parti communiste français, le « parti des fusillés » ainsi qu’il se définit encore aujourd’hui, va donner une idée tout autre de ce que fut la Résistance et précisément du rôle des étrangers dans cette Résistance ; la Résistance doit être à tout prix française. Il nous paraît important de souligner ce fait, en même temps que l’on tait, le taire évite de le nier, le rôle déterminant des étrangers combattant dans les maquis et les villes, on oblitère cette séquence historique de sa dimension internationaliste et précisément l’on tait la volonté révolutionnaire qui animait bon nombre de ces combattants pour certains anciens de la guerre d’Espagne, pour d’autres militants communistes dans les pays d’Europe de l’Est.

 

Qu’est-ce que commémoration et reconnaissance ? En 1955, Louis Aragon écrit un magnifique poème Strophes pour se souvenir figurant dans le recueil intitulé Le Roman inachevé. Cela coïncide avec l’inauguration d’une rue parisienne qui portera le nom « Groupe-Manouchian » dans le XXe arrondissement. Le temps des commémorations, du souvenir est désormais à l’ordre du jour. La Résistance dans sa singularité étrangère est admise, voire reconnue mais vidée de sa détermination, de son épaisseur internationaliste. Elle est entièrement circonscrite à ce que les institutions de la République autorisent en termes d’interprétation pour une mémoire respectueuse parfois même religieuse, c’est-à-dire rien de plus qu’une « indignation » devant l’horreur subie par les combattants eux-mêmes en ces sombres années, tortures et exécutions massives, tout cela teinté de vertu « droit de l’hommiste » pour rasséréner ce qu’il reste de conscience. Le rôle du parti communiste est tout à fait remarquable de cette discipline d’omerta et l’indignation lui profite, elle permet de maintenir une sorte de consensus autour de l’histoire de cette période de guerre impérialiste. Pour illustrer notre propos, celui-là alors que tant d’autres pourraient être évoqués, rien de moins que cette parution : Lettres de fusillés publiée par les Éditions Sociales en 1970 avec une préface de Jacques Duclos. Pas une seule fois des combattants de la MOI sont identifiés comme tels, au demeurant seul Missak Manouchian, qui devient Michel Manouchian pour Jacques Duclos, est cité  et c’est en page 117 de l’ouvrage que l’on peut lire la lettre qu’il adressa à sa femme Mélinée avant d’être fusillé, lettre amputée d’un passage sans que l’on puisse le justifier par le manque de place.

 

Lorsque les capitulations d’une époque deviennent les seuls principes et que l’humanité toute entière sombre dans la barbarie, il est plus que nécessaire de réexaminer ce qui, dans l’histoire touche à l’universel produit par l’éveil des révolutions, la dynamique d’émancipation.

 

Faisons de l’Affiche rouge, de ce qui la produit négativement, une histoire politique. Considérons-la en dehors de la geste commémorative. Qu’est ce lieu « Affiche rouge » en ces temps d’effondrement de la conscience politique ? Qu’est-ce qui est constitutif de cet héritage mémoriel débarrassé de sa dimension émotionnelle ? Posant ces questions, nous pouvons prétendre à une continuité identifiable, nous réapproprier un sens retenu par le gouvernement chronologique de l’histoire, nous pouvons nommer une singularité en tant qu’elle est la condition même de son postulat et qu’elle se réalise dans la conscience. Nous avons déterminé l’Affiche rouge comme étant un lieu, une permanence, dont la multiplicité loin de se soustraire à la mémoire, nous réinvite à son sens premier, à ce qui l’a produit, le combat pour l’émancipation. Le lieu « Affiche rouge » est ce que nous avons défini en termes de proximité, dès lors la trace mémorielle, suffisante pour qui commémore, s’instruit d’un plus dans une autre pratique où mémoire et universalité concentrent le lieu, là où il est défini comme expérience en devenir. Le lieu « Affiche rouge » est donc évolutif, il ne se laisse pas contraindre, il est, au moment de l’identification de la possibilité historique, dynamique de transformation, il se révèle par là même dans son épaisseur révolutionnaire.

 

Le 21 février 1944, date en devenir de l’Affiche rouge, est un événement dont le lieu « Affiche rouge » se présente à l’universalité des possibles de l’émancipation, il participe à l’identification concrète de la nécessité communiste.

 

Le 21 février 2014

 Patrice Corbin

 

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vendredi, 07 mars 2014 | Lien permanent | Commentaires (1)

Les FTP-MOI dans la Résistance

Les FTP-MOI

dans la Résistance

 

Le film documentaire de Mourad Laffitte et Laurence Karsznia sera projeté dans les collèges du Val-de-Marne. Une heureuse initiative du Conseil général de ce département qui ne manquera pas d'inviter au débat en ces temps où la haine de l'étranger resurgit sur fond de crise. Au-delà du mythe, du romantisme révolutionnaire et de la légende toujours différée, il s'agit de comprendre la lutte menée par Manouchian et ses camarades comme une nécessité ; il fallait en effet aimer la vie à en mourir pour que la jeunesse des années terribles de la guerre s'engouffre dans un combat impitoyable contre les ennemis de cette liberté qui leur était si chère. La lutte contre les nazis, contre les collaborateurs français qui avaient fait allégeance devant Pétain et sa clique d'assassins, cette jeunesse aux visages de Rajman, Rouxel, Fontanot, Elek, Olga Bancic..., en avait fait son combat, sa détermination. Alors certes, ne les oublions pas mais surtout armons-nous de leur exigence pour que nos luttes d'aujourd'hui soient à la hauteur de ce message universel qu'ils nous ont transmis, se battre pour l'émancipation humaine n'est jamais un vain combat.

 

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Le magazine du Conseil général du Val-de-Marne n° 309 - février 2014

 

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Bande annonce du documentaire "Les FTP MOI dans la résistance"

from Laffitte Mourad on Vimeo.

 

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mardi, 04 février 2014 | Lien permanent | Commentaires (1)

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